Rédigé par Cité de l'architecture et du patrimoine | Publié le 01/10/2020
Contrainte pas sa géographie autant que par sa surface de deux kilomètres carrés, Monaco questionne sur la fabrication de la ville contemporaine. Son rythme de développement intense, son contexte politique et social évoquent le modèle de croissance de villes d’Asie et du Moyen-Orient.
L’ingéniosité constructive et les prouesses techniques mises en œuvre ont inspiré bien des utopies dans les années 1960-1970. Elles commandent encore les projets d’un écoquartier posé sur la mer, dont les travaux d'infrastructure viennent d’être lancés.
Au temps de la découverte et de la connaissance des mers qui avait présidé à la création de l’Institut océanographique, succède celui de la préservation du milieu marin. Ce nouveau complexe requiert une haute technologie autant pour sa construction que pour la protection environnementale des fonds marins.
Avec :
- Séverine Canis-Froidefond, directrice de la Prospective, de l'Urbanisme et de la Mobilité à Monaco
- Frédéric Kappler, directeur-adjoint de la Prospective, de l'Urbanisme et de la Mobilité à Monaco
- Nathalie Rosticher Giordano, conservateur du Patrimoine, commissaire de l’exposition "Monacopolis"
- Jean-Pierre Lott, architecte
- Jean-Philippe Hugron, journaliste
- Nicolas Février, architecte, responsable de l’atelier urbain dans le cadre du mastère Aménagement et maîtrise d’ouvrage urbaine de l’École nationale des ponts et chaussées