Rédigé par Espaces Atypiques - étude | Publié le 29/06/2018
L’enseigne, composée aujourd’hui d’une trentaine d’agences, a su, en moins de 10 ans, démontrer sa dynamique, son fort niveau d’expertise sur ce marché et devenir un acteur clé du secteur. Précurseur dans le domaine, Julien Haussy est conscient que le segment du marché de l’atypique est en plein essor :
« Ce réseau, à mon image, présente un fort attrait pour l’art, le design et l’architecture afin de permettre aux acquéreurs de trouver des biens d’exceptions leur correspondant pleinement. » Julien Haussy
Des lofts mais pas que !
Un loft, voilà le premier lieu qui vient à l’esprit lorsque l’on évoque le terme de «bien contemporain»… et c’est justifié, mais à nuancer. Après analyse des résultats, seul un quart des biens sont des lofts, ils représentent 26% des biens vendus par l’intermédiaire des agences Espaces Atypiques, derrière les appartements qui prennent la tête cette année, signe d’un positionnement très urbain (37%). La troisième catégorie de biens dominants reste les maisons (le plus souvent d’architecte), une demande qui s’accroit du fait du développement du réseau en province. Viennent ensuite les duplex et des habitations type péniche, ancien couvent...
Qu’est-ce qu’un bien atypique ? Loft, atelier, duplex, appartement terrasse, rénovation contemporaine, maison d’architecte… tous reliés par un même point commun : de l’âme, du caractère, une originalité qui en font des biens à part.
Le budget est équilibré
En moyenne de 560 000 euros, soit deux fois et demi plus important que la moyenne nationale qui s’élève à 260 000 euros pour une maison et entre 190 000 et 230 000 euros pour un appartement. En effet, près de la moitié des biens (45%) sont à plus de 500 000 euros et certains peuvent monter jusqu’à plus de 2 000 000 euros (3%). Néanmoins, Espaces Atypiques propose également des biens à plus «petit» budget - moins de 300 000 euros - qui représentent près de 24% de l’offre.
Un bien atypique est donc loin de s’apparenter systématiquement à un bien de «luxe» avec le prix qui l’accompagne, ce qui n’est d’ailleurs pas la philosophie des agences Espaces Atypiques. En effet, elles ont pour volonté de proposer des biens à tous les budgets, de toute surface et dans toutes les localisations possibles.
Besoin d’espace
Les biens atypiques ont généralement des surfaces élevées. 144 m2 de moyenne, soit environ 50 m2 de plus que la moyenne pour un logement en France (94 m2). Cependant, les surfaces moyennes, de 50 à 100 m2, sont fortement représentées (30%) contrairement aux petites surfaces
(<50 m2).
État du bien
Les clients qui viennent frapper à la porte d’Espaces Atypiques sont en majorité de grands amateurs d’art, de design et d’architecture. Une population qui possède bien souvent les compétences pour réhabiliter son habitat avec goût. Conséquence : les biens commercialisés sont en très grande majorité déjà rénovés. Cependant, plus de 1/3 des acquéreurs d’espaces atypiques recherchent une habitation à rénover. Les agences du réseau Espaces Atypiques commencent donc à développer ce service dans d’anciens biens de caractères avec des visuels 3D, des plans d’aménagement et la recommandation d’architectes, décorateurs et d’entreprises générales.
Un bien hors-norme
Un loft ou un appartement contemporain pour plus de 60% des biens, un budget moyen de 560 000 euros, une surface moyenne de 144 m2, souvent un espace extérieur mais peu de garage, déjà réhabilité et en centre-ville… tel est le profil-type du bien atypique. Différent par ses volumes, son budget ou sa localisation, un bien atypique requiert une réelle expertise pour le dénicher et se démarque par un supplément d’âme et une vraie signature...
Découvrez en images quelques-uns de ces biens atypiques...